Maladie mentale et islam
Avant que la maladie mentale ne pousse au crime, ne serait-ce pas l’islam qui pousse à la maladie mentale? Le Coran et ses incessantes menaces contre les «incroyants» ne font-ils pas le lit de la violence?
C’est bizarre tout de même! Ils attaquent, blessent, violent ou tuent au cri de «Allah Akhbar!»
«Maladie mentale», informent souvent ceux qui les embastillent.
Question: avant que la maladie mentale ne pousse au crime, ne serait-ce pas l’islam qui pousse à la maladie mentale? Le Coran et ses incessantes menaces contre les «incroyants» ne font-ils pas le lit de la violence?
Après tout, dans nos sociétés, l’islam est la seule religion venue d’ailleurs qui produit cet étrange syndrome: tuer quelqu’un, violer quelqu’une, en massacrer plusieurs en invoquant le nom de Dieu. Tuer pour Dieu.
L’islam instille le mépris de l’autre, décrit les tortures que les «infidèles» subiront au Jugement dernier.
Même s’il abandonne ses rituels, le futur assassin ne garde-t-il pas une part de rigidité, de croyance inflexible, d’agressivité envers tous ceux qui lui sont étrangers, donc ennemis?
Un jour peut-être, une filière de psychiatrie sera-t-elle consacrée à ces origines du geste assassin au nom d’Allah. On préférerait que les musulmans eux-mêmes tentent de nous expliquer. Mais expliquer quoi que ce soit des violences que nous apporte leur religion est un tabou absolu.
J’avoue que pour le Hamas, je reste perplexe. Un tel degré de sauvagerie qui conduit, en invoquant joyeusement Allah, à démembrer, brûler vif, violer, couper des seins pour en faire des ballons… Mon entendement est dépassé.
Camps de vacances à Lausanne… Des tout jeunes (4 à 12 ans) apprennent des «notions de base de l’islam», passent des «journées en compagnie du Coran où les enfants apprennent le Coran» et pratiquent «des séances d’apprentissage du Coran».
Que deviendront ces enfants si tôt baignés dans un islam fossilisé? Un Coran censé être parfait, mais désorganisé et à moult reprises inintelligible, qui permet à des guides obscurantistes de modeler comme ils l’entendent ces jeunes esprits.
Est-ce un hasard que le centre qui décrit ces activités, considéré comme un modèle d’intégration, ait invité de nombreux Frères musulmans, dont Béchir Ben Hassen (image), un imam de France antisémite et lié au terrorisme?
Quel lien plus tard entre ces enfants et les pratiques de violence? En France, plusieurs enquêtes témoignent qu’au fil des générations, les musulmans sont de plus en plus religieux, qu’un nombre impressionnant d’entre eux ne peut pas condamner clairement l’assassinat du professeur Dominique Bernard, que le Hamas est pour eux un «mouvement de résistance» et la laïcité un outil de stigmatisation?
Que vont devenir ces enfants? Que vont devenir nos sociétés?
Je songe à cette remarque que me faisait le philosophe algérien Hamid Zanaz: «Un musulman résolu à pratiquer l’islam des origines ne peut le faire parfaitement qu’en renonçant à son humanité.»