L’abject troc des tortionnaires

Gageons qu’après les premières libérations, les barbares du Hamas utiliseront leur sadique expertise pour infliger de nouvelles souffrances aux otages et à leurs familles.

Les trois premières otages israéliennes viennent d’être libérées après 470 jours.

Ils ont remercié leur Dieu de leur avoir permis de verser le sang juif. Ils ont embrassé le sol en criant qu’Allah est grand. Ils ont pleuré de joie en tuant des bébés, des enfants et leurs parents. Ils ont brûlé des maisons et des habitants qui les avaient aidés, emmenés à l’hôpital, donné du travail. La haine était la plus forte, ils les ont trahis et ont participé à cet atroce massacre.

Ils ont baissé la tête et levé leur fessier. Dieu pour leur avoir autorisé tous ces assassinats était décidément grand ! Il leur avait permis de pourchasser, assassiner, brûler 1200 juifs, dont 37 enfants. D’en avoir blessé 7500. Merci, mille mercis Allah !

Le monde musulman a crié sa joie.

Ils ont séquestré 251 civils témoins des cruautés et de la mort de membres de leurs familles et de leurs amis. Sinouar l’avait appris : pour les juifs,  un enterrement digne dans le pays est précieux. Au point d’échanger des cadavres, des ossements contre des tueurs. « Quand j’étais soldat en Israël, se souvient Arno Stern, il y avait eu un échange où, contre un morceau de corps d’un soldat israélien pris par le Hamas, des terroristes étaient libérés

Fin novembre 2023, une centaine d’otages ont retrouvé la lumière, femmes, enfants, travailleurs étrangers. La moitié affamés. Ils ont raconté les coups, les violences sexuelles, les privations, l’arrachage des cheveux, l’isolement et l’obscurité. Deux des enfants ont été attachés ensemble, et deux autres portaient des marques au fer rouge. Des prisonniers ont assisté à l’assassinat d’autres captifs.

Le choix

Israël devait choisir : laisser le Hamas se réorganiser et se renforcer pour les prochains pogroms qu’il annonçait ou tenter d’éradiquer le mouvement terroriste… Au prix de la vie de civils qu’il a pourtant tenté d’épargner. Les barbares se sont sans cesse rassemblés dans les lieux de protection offrant les Gazouis réfugiés en sacrifice. Ils le savaient : plus les morts étaient nombreux, plus la détestation d’Israël croissait.

Israël fait face à l’Iran qui arme le Hamas et le Djihad islamique à Gaza, le Hezbollah au Liban, les Houthis au Yémen et des milices en Syrie et en Irak. Sur tous ces fronts, le pays s’est défendu seul. Entouré cependant de bonnes âmes dans le monde qui exigeaient la fin des hostilités, mais ne promettaient rien.

Durant un an et demi, les médias, les gouvernements et les soutiens occidentaux à la prétendue et mal nommée « résistance », confortablement câlés dans leur fauteuil, n’ont cessé de condamner Israël.  «La seule solution, deux Etats!» répétitaient-ils en choeur. En clair: «Laissez s’installer parmi vos voisins ces tueurs fanatiques qui réclament votre disparition ! Et ne comptez pas sur nous pour vous aider à les neutraliser.» Ces veules soutiens veulent ignorer que les terroristes n’ont aucune velléité de dialogue ou de paix. Déjà,le nouveau président libanais Joseph Aoun a parlé de « l’ennemi israélien »

L’ONU fer de l’antisémitisme

L’ONU, qui a passé des années à forger l’antisémitisme, figure parmi les pires acteurs de ce drame.

La cruauté du Hamas n’ayant pas de limites, il laisse dans le doute les familles : vont-elles retrouver leur proche ? Et, si oui, mort ou vif ? De leur côté, les barbares ont déjà donné la liste des premières centaines dedétenus à libérer. Parmi les otages toujours détenus à Gaza, il y en aurait 60 « présumés vivants » .

30 otages contre des centaines de meurtriers dont le sort dans les prisons israéliennes ne ressemble pas à celui qu’ils réservent aux civils kidnappés. Ils mangent à leur faim, voient la lumière du jour, ne sont pas torturés ni marqués au fer rouge. Le rouge, certains de ces tueurs l’ont sur leurs mains. Ils rêvent d’en couvrir encore.

Dans ce qui est généralement décrit comme l’enfer des prisons, les médecins israéliens ont opéré Yahya Sinwar avec succès d’une tumeur au cerveau. Libéré lors d’un échange, l’organisateur du 7 octobre travaillera à un but unique: amasser des armes pour tuer des juifs jusqu’à la disparition d’Israël. L’UNWRA, dont les réfugiés sont beaucoup plus gâtés que ceux du reste du monde, s’occupe de la population en plein accord avec les tyrans de Gaza.

Détenu par des sadiques emplis de haine… Victime durant 470 jours de tortures physiques et psychologiques. Manque de nourriture, de soins, obscurité, absence de relations avec des gens normaux… Qui peut à nouveau aimer, danser,  rire… simplement revivre après un tel cauchemar ?

De ce contexte, les islamogauchistes et leurs complices musulmans n’ont voulu voir que les morts gazaouis et les destructions. Ils ont fait croire que l’armée israélienne ciblait délibérément la population, surtout « les enfants ». Ils ont inventé un génocide, créé un apartheid contre les juifs qui sont désormais partout ciblés, rejetés, agressés.

Pour la première fois, ces justiciers ont milité pour la disparition d’un pays et de son peuple par une « libération des Palestiniens du fleuve à la mer ».

Ils ont voulu ignorer ce que représente cet islam de plus en plus violent, ils contribuent à l’étendre dans les pays européens.