Les élèves vaudois sont atteints d’un grave symptôme d’homophobie
Une polémique liée à l’arc en ciel des sexualités nous fait découvrir le terrible fléau.
Maldonne à l’école! Des adeptes de la nouvelle idéologie ont conçu une page de pictogrammes représentant les valeurs de l’école, dont celle des LGBTQIA+ sur un agenda scolaire destiné à des enfants de 12 à 15 ans.
Certains d’entre eux ont biffé ou découpé cette discrète pub. D’autres ont contesté le symbole, accusé les autorités de militantisme et posé des questions auxquelles les enseignants, pas avertis de l’impression de la nouvelle «valeur», ont eu quelque peine à répondre. D’autres élèves ont soutenu cette initiative.
Cesla Amarelle, ministre vaudoise de la formation, a répondu en faisant mine de croire que ces réactions au symbole relèvent exclusivement de «l’homophobie». Ce que le journaliste de la RTS, média qui contribue abondamment à la propagande LGBT, s’est gardé de contester.
La ministre est coachée par Caroline Dayer, déléguée départementale aux questions d’homophobie et de transphobie et fervente adepte de l’idéologie LGBTetc. Ces deux maux font l’objet d’un tout récent «plan d’action» à l’école, première étape de leur éradication et de l’ouverture à la richesse des choix sexuels.
Cesla Amarelle s’est donc lancée pour sa défense contre le seul fléau homophobe. Il donne lieu à des actes «innommables»: «Je pense qu’il y a dans l’école vaudoise comme dans beaucoup d’écoles en général dans le monde énormément d’homophobie. Une étude va sortir, qui donne des chiffres glaçants: ceux qui ne s’identifient pas comme hétérosexuels ont 5 fois plus de risques d’être les cibles de harcèlement et d’intimidation, entre 2 et 5 fois plus de risques de faire une tentative de suicide.» Caroline Dayer a également constaté «l’omniprésence des violences homophobes».
Mais comment se fait-il ?
Il y a 17 ans, en juin 2004, le peuple suisse accordait des droits juridiques importants aux couples homosexuels. Les Suisses ont accepté ce «partenariat enregistré» à 58%, les Vaudois à 61%.
Le 26 novembre, le peuple votera sur «le mariage pour tous». Les sondages annoncent pour l’heure 69% de oui. Les couples de même sexe pourront adopter conjointement un enfant. Les couples de femmes auront la possibilité de recourir au don de sperme non anonyme. Vaud, très progressiste, fera certainement un beau score.
Mais comment ces enfants de parents si peu homophobes le deviennent-ils? Seraient-ce les habitants sans droit de vote qui marinent dans l’homophobie? Mystère.
Le symbole sur l’agenda était un peu précipité. La prochaine étape, celle de la lutte contre les autres phobies, dont la trans, ce sera pour plus tard, mais pas trop. Les profs questionnés, bien (in)formés, pourront joindre la défense des autres membres de la communauté à celui des homosexuels: bisexuels, intersexes, queer, asexuels, «en questionnement». Ils expliqueront sous peine d’être accusés d’être transphobes, queerphobes et autres phobes, que le sexe est dû aux conventions sociales, que l’on peut librement en changer, qu’eux-mêmes, les enseignants, seront attentifs à satisfaire ces désirs dès la petite enfance pour qu’enfin l’arc en ciel LGBTQIA+ éclaire le beau canton de Vaud.
Et enfin nous entrerons dans une ère de paix universelle …
P.S. Ironique.
Est-ce que les ados connaissent la signification de ces deux mots ?
Qu’est-ce qui est « innommable », dixit Cesla Amarelle ?
La propagande LGBT assénée par le DFJC sur l’école vaudoise ou les réaction négatives de beaucoup élèves ?
Mon neveu de 10 ans maîtrise quelques mots d’arabes grâce à internet. Via Tik Tok ou encore Youtube, il découvre des internautes de toute la francophonie. Ponctuer des phrases avec des mots en arabes ayant des significations liées l’Islam c’est enrichissant. Mon neveu se pose donc plein de questions à propos de l’Islam… dont il connaît déjà un bon rayon. Quant au drapeau gay, il trouve son omniprésence assez pesante. OK, ils existent. Mais y’a des arc-en-ciel partout de chez partout (clip vidéo, séries, livres, jeux vidéo,…..). Cela vire au harcèlement, à son avis. Parler arabe, c’est tendance. Un peu comme le verlan dans les années 80. C’est rebel.
Quel est le rapport avec le sujet ? Merci de nous éclairer !
L’Etat de Vaud est-il fondé à lutter contre l’homophobie ? Non, car chacun est libre de penser ce qu’il veut et il s’agit là d’un droit constitutionnellement et conventionnellement garanti qui ne souffre d’aucune restriction . Certes, l’Etat de Vaud est fondé à lutter contre certaines manifestations de l’homophobie mais il ne peut le faire en empiétant sur la liberté absolue de penser ce que l’on veut et c’est ce qu’il fait ouvertement en se servant des écoles pour propager son homophilie, pour laver les cerveaux des enfants.
Notez que vous pouvez intervertir homophobe et homophilie dans ce que je viens d’écrire ou bien y mettre islamophobie, judéophobie, suprémacisme blanc, suprémacisme féminin, racisme, par exemple. Le principe est la liberté de penser ce que l’on veut et la prohibition du lavage de cerveaux.
Quant aux tenants de » la liberté des uns s’arrêtent où … » je les renvoie aux textes de notre constitution, de la Conv.EDH ou du Pacte ONU II qui consacrent le caractère absolu de penser ce que l’on veut.
L’agenda avec symbole LGBT+ est inadmissible, mais la destruction ouverte de celui-ci est critiquable car il s’agit d’une manifestation d’homophobie propre à nuire aux éléves LGBT+. Les élèves devraient être moins bêtes que l’Etat de Vaud.
Cette lutte des pouvoirs publics « contre l’homophobie » est en réalité une lobbying pour l’homosexualité et autres formes de sexualité de plus en plus extravagantes. Tout est fait pour mettre dans la tête de nos enfants des idées folles, perturbantes, qui en font des êtres malheureux car sans limites et nombriliques. Quels dégâts! De plus, ceux qui entrent dans un processus de transformation sexuelle se rendent dépendants de la médecine (chirurgie mais aussi pharma), dans un horrible cercle vicieux car ils deviennent très probablement accros aux antidépresseurs. Honte à ces marchands d’espoir qui profitent de la fragilité de l’adolescence!