Le grand mensonge sur la loi Orban et l’idéologie LGBT 

La nouvelle doctrine ferme toute possibilité de débat et plonge notre société dans d’innombrables délires.

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Des mouvements de résistance se font jour, comme ici à l0ccasion d’un colloque où l’on pouvait tout apprendre sur « Le désir d’enfant » et la manière de le satisfaire pour les LGBTetc.

 

Imaginons ces questions jamais posées aux citoyens, mais dont des lobbies et l’Etat promeuvent la réponse:

–  Etes-vous favorables à l’imposition d’une propagande destinée à convaincre vos enfants que leur sexe biologique n’a aucune importance et qu’ils peuvent choisir parmi tout plein d’identités : être lesbienne, gay, queer, trans, non binaire, etc.?

–  Etes-vous d’accord que l’éducation permette à votre petite Cécile de se faire appeler Arthur à l’école et que les autorités scolaires respectent religieusement sa nouvelle identité?

Réponses:

Les médias: «Oui, avec enthousiasme, nous publions d’ailleurs presque chaque jour une contribution à ce juste combat.»

Des écoles: «Oui, nous avons déjà établi un protocole pour satisfaire au mieux les souhaits des enfants.»

Le Canton de Vaud: «Bien sûr, nous avons déjà engagé une haute fonctionnaire chargée de diffuser cette nouvelle vision dans les lieux d’éducation.»

Les partis: «Oui, bien sûr… » Mais pas l’UDC.

Les parents? Pour les tenants du nouveau bréviaire, il faut absolument éviter de leur dire ce qu’on enseigne, ils pourraient protester, s’indigner. Il faut à tout prix les laisser dans l’ignorance.

Autre interrogation:

–  «Etes-vous fier d’être hétérosexuel?» 

Médias: «Cette question est un blasphème! Seules les autres « Fiertés » doivent pouvoir s’autocélébrer. Vouloir être hétéro, c’est être partisan du patriarcat.»

Partis: «Non à cette hérésie!»

L’orbanophobie en pleine action

La loi de Viktor Orban refuse que la propagande de genres soit enseignée aux mineurs. Elle n’empêche personne de vivre librement sa sexualité, mais sans pressions durant l’enfance. Les termes peuvent se discuter. Mais discuter est interdit.

L’immense mensonge se propage: c’est une loi homophobe et transphobe. Cette accusation entre dans les esprits. Personne n’ira lire la loi. Et le problème de fond -les mineurs doivent-ils être protégés de la nouvelle idéologie du genre?- ne sera jamais traité.

Emportés par leur hantise orbanophobe, les médias seraient enchantés que l’Union européenne se venge en supprimant à la Hongrie l’aide financière liée au covid. La pression est telle que la résistance devient impossible. Mais l’UE n’a pas la moindre envie de résister.

Interdire de propager cette idéologie aux enfants, ce serait effectivement les protéger d’une confusion mentale, d’une sexualisation obsessionnelle, de demandes de transitions rapides, d’une instabilité psychologique.

Au point où nous en sommes, l’incroyable puissance de ces lobbies n’est plus au service du droit de choisir sa sexualité sans être discriminé, c’est la revendication par une petite minorité de changements sociétaux majeurs: disparition de tout lien avec le sexe biologique; pas de mention du sexe sur les cartes d’identité; pas de «Bonjour Mesdames, bonjour Messieurs» dans les courriers administratifs et les conférence, pas de toilettes réservées à un sexe; autorisation sur simple déclaration de considérer des hommes comme des femmes et inversement; choix de son «identité sexuelle»; possibilité de changer d’identité à tout âge et selon les moments de son existence.

Le Washington Post a publié une chronique qui incite, entre autres démences, à exposer les tout petits enfants «à la vitalité et au rayonnement de la vie des homosexuels». Tous les jours, un nouveau cauchemar est à la Une.

Ce que la nature fait, des enfants nés d’une père et d’une mère, c’est de la discrimination. La PMA pour qui la demande, la GPA qui permet d’acheter un enfant, et les changements de sexe chirurgicaux doivent être généralisés à tous les amateurs.

Une pseudo-science appuie ces délires.

Si l’on n’est pas d’accord, on est homophobe, transphobe et propagateur de «haine». Donc condamnés au lynchage social.

Terminé le droit à la liberté d’expressions sur ces sujets. Le droit de connaître son origine est illégitime. Les LGBTetc. veulent pouvoir sexualiser, voire «homosexualiser» les élèves en toute liberté, avec l’assentiment de l’État et sous le prétexte d’éradiquer les mécanismes de domination et d’oppression.

La société totalitaire est en plein boom.