Le Minotaure islamique

Pour satisfaire les adorateurs d’Allah, des sacrifices leur sont offerts. Mais ils n’apaisent pas leur appétit, ils le stimulent. Un article de la Convention des droits de l’homme permettrait pourtant de  limiter cette boulimie.

                                                                Les humeurs de Sophie

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Tous les sept ou neuf ans, pour expier le meurtre d’Androgée fils du roi de Crête par Egée roi d’Athènes, sept filles et sept garçons athéniens étaient conduits dans le Labyrinthe pour servir de nourriture au Minotaure.

Plusieurs fois par année, pour expier le crime de la colonisation et de l’esclavage, les nations européennes sacrifient quelques uns de leurs citoyens pour apaiser le Minotaure islamique. Ce faisant ils oublient, jusque dans leur enseignement de l’histoire aux jeunes, que le crime de colonisation et d’esclavage est au moins, si ce n’est beaucoup plus, partagé par l’islam, qui a colonisé et asservi de nombreuses populations par la guerre et la terreur. 

Mais voilà,  le Minotaure islamique n’est jamais rassasié, il réclame des  sacrifices jusqu’à ce que nous nous soumettions entièrement à lui. Ces sacrifices sont  inutiles, car en croyant l’apaiser, nous ne faisons que stimuler son appétit. Pourtant, plus nous voyons nos concitoyens sacrifiés à l’islam militant, plus nos journalistes et nos dirigeants se répandent en déclaration de tolérance et d’amitié envers ce même islam, qui serait malgré toutes les apparences, une religion de paix, de tolérance et d’amour, ceci même quand ces mots doux et ces concepts sont à peu près absents de son livre fondateur, le Coran. Coran que ces mêmes journalistes et dirigeants n’ont jamais pris la peine de lire,  alors qu’il est pourtant en vente libre dans toutes les librairies et accessible sur internet.

Plus le Minotaure dévore de proies, plus nos dirigeants subventionnent des institutions pour promouvoir l’islam, qui serait par miracle la seule idéologie dans l’histoire de l’humanité dont les fruits n’auraient rien à voir avec leurs sources. Comme si l’on avait dit que la guerre, l’antisémitisme, ou les camps de la mort n’avaient rien à voir avec le nazisme ou avec «Mein kampf» et qu’il fallait avant tout subventionner le nazisme pour éviter les «dérives» des camps de la mort dues à quelques déséquilibrés qui n’auraient pas compris le nazisme. Ou comme si l’on avait dit que les Gardes rouges n’avaient rien à voir avec Mao et son «Petit livre rouge» alors même qu’ils le brandissaient fièrement.  

Plus le Minotaure grandit, plus nous ne faisons que  «surveiller» sans emprisonner ses hommes de main, refusant également de les renvoyer dans des États où «ils risqueraient leur vie», ou perdraient leur «intérêt prépondérant» à vivre au milieu de nous. Plus ces hommes de main combattent nos droits de l’homme, plus nos juges invoquent ces mêmes droits de l’homme pour les protéger, oubliant de façon surprenante l’ article 17 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui précise que ces droits ne s’appliquent pas à ceux qui ont pour objectif de les détruire.

Et  notre Minotaure grossit, s’enhardit, exige, réclame, impose, nous fait la guerre, sans que nous n’osions nous révolter de peur de recevoir l’anathème qui nous fermerait les portes de la société: «Vous êtes raciste et xénophobe», quand bien même toute personne avec un tant soit peu de bon sens a réalisé depuis longtemps que l’islam n’était pas une race.

Thésée et Ariane ne vont pas apparaître providentiellement pour nous sauver de ce Minotaure bien plus insatiable que celui des Athéniens, et qui ne tue pas une fois tous les sept ans, mais plusieurs fois par an.

Ce sont nous tous, citoyens qui devons refuser les demandes du Minotaure. Nous devons refuser en toute occasion, et le faire savoir avec fermeté, les exigences de l’islam sur notre territoire, au risque de voir augmenter son appétit pour nous soumettre.  

Nous devons également exiger de nos dirigeants la plus grande fermeté et l’application de cet article de la Convention européenne des droits de l’homme.

 

ARTICLE 17:          

 Interdiction de l’abus de droit

« Aucune des dispositions de la présente Convention ne peut être interprétée comme impliquant pour un État, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Convention ou à des limitations plus amples de ces droits et libertés que celles prévues à ladite Convention. »

Tiens donc, il y aurait donc moyen de limiter les droits de nos islamistes ?

Serait-ce donc la volonté politique qui manque et non pas d’un droit ?

Comment ceux qui justifient leur impuissance au nom  de notre «État de droit» ont-ils pu oublier d’appliquer cet artice 17 ?

 Sophie

https://www.echr.coe.int/Documents/Convention_FRA.pdf