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Critiquer l’islam n’est pas du racisme

  • Critiquer l’islam n’est pas du racisme

    La huitième édition du “SWISS STOP ISLAMIZATION AWARD 2025” vient d’être lancée. Voici le communiqué de presse de son auteur, Giorgio Ghiringhelli.

    Ces jours-ci vient d’être lancée la huitième édition du «Swiss Stop Islamization Award», un Prix que j’ai créé pour récompenser moralement et financièrement les rares personnes qui, en Suisse et dans les pays voisins, luttent courageusement contre l’islamisation culturelle, politique et sociale de l’Europe, et contre ces islamistes fanatiques qui, dans leur entreprise de conquête du continent, entravent par tous les moyens l’intégration des musulmans dits modérés ou laïques, en cherchant à les ré-islamiser et à les radicaliser.

    En 2018, lorsque j’ai lancé la première édition de ce Prix, un vieil ami qui avait lu la nouvelle dans le Blick m’a reproché de m’être transformé en «raciste fanatique». Il rompait ainsi une amitié qui avait duré un demi-siècle. En vain, j’ai essayé de lui faire comprendre que critiquer une religion ou une idéologie, ainsi que leurs adeptes fanatiques, n’est pas du racisme, tout comme, par exemple, ceux qui critiquaient à juste titre le nazisme et les nazis à l’époque d’Hitler n’étaient pas racistes à l’égard de tous les Allemands.

    En effet, quiconque connaît un peu l’islam, ses textes sacrés empreints de violence et de haine envers les non-musulmans (mais aussi envers les musulmans non pratiquants et ceux qui voudraient changer de religion) et ses stratégies sournoises pour conquérir le monde par de bons ou de mauvais moyens, ne peut qu’être effrayé par cette idéologie totalitaire, raciste et misogyne. Seuls les ignorants du sujet et les «idiots utiles», dont la majorité des journalistes et des sympathisants de la mouvance rose-verte (ceux qu’on nomme en français les «islamogauchistes»), croient vraiment que l’islam est une religion comme les autres, une religion de paix, d’amour et de tolérance, une religion dont l’expansion en Europe (qui se mesure à vue d’œil par le nombre croissant de femmes voilées) ne doit pas inquiéter. Pour eux, les islamophobes sont des racistes. Mais comme islamophobie ne signifie pas «haïr les musulmans» mais «avoir peur de l’islam», tous ceux qui craignent l’islam et qui le critiquent à juste titre, devraient être fiers de se déclarer islamophobes, comme l’a dit de lui-même l’un des lauréats du Prix, le chrétien arabe Sami Aldeeb, peut-être le plus grand spécialiste de l’islam en Suisse.

    A ce jour, 42’000 CHF ont été attribués aux 22 lauréats, parmi lesquels 4 musulmans ou ex-musulmans (Magdi Cristiano Allam, Shafique Keshaviee, Souad Sbai et Boualem Sansal). Pour le financement de la huitième édition, qui compte 8 nominés (dont 3 musulmans ou ex-musulmans), une campagne de collecte de fonds a été lancée, avec pour objectif de récolter 6000 CHF.

    Parmi les «nominés» de cette nouvelle édition j’aurais souhaité inclure le Français René Marchand, malheureusement décédé le 15 novembre dernier à l’âge de 89 ans. René Marchand, journaliste et grand spécialiste de l’islam, était l’un des piliers de la lutte contre l’islamisation de la France et de l’Europe, et je tiens à signaler deux de ses ouvrages publiés aux éditions Riposte Laïque : “Reconquista ou Mort de l’Europe“ (2013) et “Pourquoi et comment interdire l’islam” (2017). Ce dernier est un livre, dans lequel des arguments convaincants expliquent pourquoi et comment l’islam devrait être interdit en France et en Europe. Pas plus tard qu’en avril dernier, j’ai

    envoyé un exemplaire de ce livret, facile à lire – dont je recommande la lecture à tous – à une vingtaine de personnes, dont les dix députés tessinois qui siègent au parlement national.

    Un intéressant article en sa mémoire, intitulé «Mort de René Marchand, notre ami: réécoutez tout ce qu’il nous disait sur l’Islam» a été publié dans l’édition du 16 novembre sur le site français Riposte Laïque.

    Les « nominés » pour 2025 sont au nombre de huit: Amar Bouberguig (Lausanne), Fanny Idoux,ex Truchelut (France), Dr Dominique Schwander (Valais), Mireille Vallette (Genève), Hamid Zanaz (France), Alain Wagner (France), Giulio Meotti (Italie), Hamed Abdel-Samad (Allemagne).

    Giorgio Ghiringhelli

                                  (fondateur et coordinateur du mouvement politique Il Guastafeste)

    Le Temps du 24 janvier consacre un article à l’entrée en vigueur de l’initiative suisse contre la burka. Giorgio y figure comme  coordinateur du Guastafeste («Le Trouble-fête»), à l’origine de l’initiative cantonale tessinoise similaire, acceptée en 2013 par 63% des votants.


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