Burkini: plus que 30 jours pour signer
Plus un instant à perdre, signez et faites signer!
L’UDC de Genève a lancé un référendum contre le récent vote de la gauche au Conseil municipal. Il aboutira si 4000 signatures au moins sont collectées d’ici fin mars, soit en un mois.
A noter que seuls les habitants de Genève-ville avec droit de vote et nationalité suisse, de même que les étrangers domiciliés à Genève depuis au moins 8 ans peuvent signer.
Vous trouverez le matériel de vote ici :
Même une seule signature vaut la peine.
Le burkini est à la piscine ce que la burqa est à la ville!
L’UDC reçoit avec chaleur les propositions d’aide. Vous pouvez contacter le parti pour savoir quand et où se tiennent les stands, voire faire un don.
Tél : 022 735 41 04 | E-mail : secretariat@udc-ge.ch
Sous nos latitudes, les hommes savent généralement se tenir et les porteuses de burkinis le savent bien. Même le regard a été domestiqué. Voit-on encore souvent à la piscine un homme fixer avec insistance d’un œil lubrique une femme en maillot de bain ? Il serait vite remis à l’ordre.
Alors pourquoi cacher son corps en s’infligeant le désagréable contact d’un textile mouillé et l’absence d’air ou de soleil sur sa peau ? Qu’on ne nous fasse pas le coup des «complexes». Aujourd’hui, en Occident, on n’a plus honte de ses défauts physiques et la tendance est même à en être fier(-e-s-x etc.). De toute manière le burkini ne cache pas les formes, et il attire tous les regards !
Non, burkini n’est pas innocent, il porte un message qui ressemble fort à : « Ce n’est pas le regard des hommes en général ni de la société qui m’importe, c’est uniquement celui des hommes musulmans et de mes coreligionnaires. Je ne me sens pas concernée par l’évolution de la société d’ici – mixité, respect de la femme, non-jugement-, mais par les valeurs islamiques, que je contribue à promouvoir. »
Ici, en Suisse et en Occident général, les femmes revendiquent de pouvoir porter une minijupe dans la rue ou un maillot deux-pièces à la piscine sans craindre les gestes déplacés, et cela est largement acquis. Mais la solidarité féminine n’intéresse pas les porteuses de burkinis,